D éd Ah UT « vace dans le coeur de tous ceux qui on , ont été les témoins.

A l'Université La rotonde de l'Université était lit- téralement comble.

haite la bienvenue aux voyageurs. ‘“L'Université d'Ottawa, dit-il, poursuit dans l'Ontario l'idéal que vous vous efforcez de réaliser dans l'Ouest au prix de tant de dévouement, de sacri- fices ët de luîtes.” 11 félicite les Cana- diens français de la Saskatchewan pour lé cotragé et le 2èle qu'ils déploient à 1 maintenir leur collège de Gravelbourg. } 11 présente également ses hommages N à l'Université de la Saskatchewan, re présentée par le pro “La présence des M. McDonald, dit-il, N est une preuve que des voyages com mé celui de Ta “Survivance’ franco-ca- nadienne” sont aux yeux de tout Cana- | J atên bien pensdnt d'excellentes initia : tives.”

Deux élèves de l'Université parlent tour se, tout: M. À. Brunet au nom des élèves de langue française ét M. Ja- seph Réttez au nom de ceux de langue

. Anglaise. ‘

Le R: P, Marcot+ te, O.MI., recteur de l'institution, sou-

R. P, Magnan, O.M.f

Le R. P. Maguan, O.M.I. recteur du Collège de Gravelbourg, parle de l'afñ- liation du Collège de Gravelbourg à l'Université d'Ottawa et s'en réjouit. Le benjamin de nos collèges de l'Ouest ditil, est bien jeune encore, puisqu'il ne fait qu'entrér dans sa huitième am- née; mais grâce au dévouement inlas- sable des Canadieñs de la Saskatche- wan et à la générosité de nos frères

confiance. 11 est appelé à être un des

principaux éléments de notre survi vance catholique et française duns l'Ouest canadien.

écoles pour le diocèse de Régina, parle ensuite. Nous avons publié son dis cours dans notre dernier numéro:

_ | PR RENE 5

1 Professeur McDonald

M. le professeur McDonald parle dans les deux langues, et il s'exprime très

bien en français. 11 représente, dit-il, . Min symbole - Ce ne sont pas tant ses idées qui comptent que le fait qu'il a été choisi pour fairé partie de l'exeur-

. sion de la “Survivance franco-canadien

ux que la langue qu'il parte. bu:

de français depuis seize aus à l'Uni- versité de la Saskgichewan.

développer cette langue. était petit il « balbutié la larigue gaéti-

11 a fait | langue et la foi. des efforts hérolques pour, garder et | rait changer la face du continent que Lorsqu'il | d'enlerer le français? 11 faudrait faire

Quoue vreurs cat 4

JE jé & =: E “Nous avons à

phachesion non Ssats-

d'au | ment du Québec, mais aussi de tout le

[sise de l'Association d'&ducation et

pays. Ottawa est pour nous un: sym- bole de résistance fraiçalue; c'est le

cela évoque lo souvenir du-règiement

se réspeclér et à collabo- XVIL La victoire, vous l'aurez, car

x et l'harm: » terminant.

0 | vous. teprésentez le droit et la justice.

Noùs avons cherché À vous imiter,

1e mondé, | nous ävons connu l'injusticeet-la per-

He8t. possible | sécutfon. Groupts autour de nos or. ais ETS ganisateurs, nous sommes restés fran

co-canadiens toyjours. Gldire donc à 4 lation d'Education. -

sensibles.à cet hommage de

“an nom + de l'Asiocialiof Er salut fraternael. Nou

diaté “pienvenue dns capitale, au myment où vous aÎlez dans Ja fière pro-

, «A salue Mgr Campeau, éral du diocèse, qui relève

milgdie, et 11 l'assure que, lorsque

Tles pélerins seront rendus à Sainte: |

Anne de Beaupré, fls prieront pour le

vinos de -Québeé, d'où sont pürtis fous complet rétablissement de sa santé, les ‘groupes français aùt ont essaimé Ils, demanderont aussi pour leurs frères

dans tout le continent nord-américain. Nous saluons en vous les imituteurs des pionniérs français d'Amérique.

fructifier.

d'Ontärio, la :vafilance, Je courage et la force qui leur sont nécessaires.

Nos paroisses se groupént autour de

Vous de l'Ontario, vous avez

du Curist et vous y avez apporté le | à votre clergé, Continuez à lui être dé- vorbe de France pour le faire rêtentir | Vrués.

dans les prairies et. dans les monta- gnes Rocheuses.

Les |élèves crièrent trois hourras

Vous avez gardé vo: pour l& “Survivance franco-canadien-

tre foi, votre langue et-vos traditions | ne”, et la réception se termina par le pour les remettre initactes À la généra- | Chant de “Jadis dans l'Ouest, pays nou-

tion future.

trésor si riche de la langue et de la foi, malgré lés difficultés de toutes sor- tes, Les Canadiens français d'Onta-

Vous avez cru que votre | VCau", entonné par M. l'abbé Krny. todos e M DATE premier devoir était de conserver le

Au Parlement

Les excursionnistes se sont ensuite rendus au Parlement, où l'hon. Ernest

rio n'ont pas cessé de s'intéresser à Lapointe, ministre de la justice, leur

vos luttes. Ils vous ont toujours pro- [digué lèurs encouragements solennels. Nous avons peut-être pour vous plus de sympathie que n'en ont les autres groupes français. Votre visite dans le

a souhaité la bienvenue au nom du gou- vernement canadien. Les. délégués avaient pris place dans la salle du co- mité des chemins de fer. Sur l'estrade

se trouvaient l'hon: Ernest Lapointe, . Auclair, |.

Québec suscite l'intérêt dans cette pro- |.'° sénateur Belcourt, le R.-P 1 vince, et ce gera de même pour nous 3, Henri Lacerte, président de l'Asso- tario. 11 y à longtemps que on d'éducation des Canadieus fran-

j'avais désiré me rendre dans l'Ouest çals du Manitoba, et M. Raymond De-

pour vous donner la preuve que nous approuvons vo#luttes. N'ayant pu voir mon désir se réaliser, je suis extrême-

ment heureux de pouvoif maintenant

*|vous exprimer mes sentiments.

Faites de l@uest. votre pays, s'écrie l'orateur, Nous sonfmes chez hous par- tout. Vu sa grande natalité, la pro- vince de Québec doit se déveréer ail.

du Québec, il jouit d'une . prospérité leurs, et qu'elle se déverse qans l'Ouest relative et peut envisager l'avenir avec | Plutôt qu'aux Etats-Unis.

C'est dans l'intérêt de la foi et de la race. Par- tout au Canada nous sommes loyaux à la Couronne britannique, et c'est pour cela que nous sommes en mesure d'exi-

Le R. P: Alclair, O.M.I. visiteur des] 57 Que nos droits soient reconnus.

Ces droits, nous les apportons en nais- sant: droit de parler , notre langue, droits de la liberté la plus complète dans la pratique de notre foi. En lut tant pour garder la langne intacte, vous n'avez exercé que votre droit, €t si quelque jour vous avez besoin de nous, fous irons.

Nous: envions vos succès. Dans l'Ouest, vous avez obtenu <e que nous n'avons pas obtenu dans Ontario

". ILaime, dit-l, la, langue française Nous l’obtiendrons un jour où l'autre; A 25 | car noùs ne céderons jamais. as) flne savait pas un mot de fran-| groupes canadiens-français du conti il s'est livré à une étude | nent sont solidaires. C'est en prenant #rdue, et maintenant {1 es: professeur les moyens que vous réussirez à faire

Tous les

revivre sur le continent américain la Songe-t-on que ce se-

disparaître des monuments d'une gloi-

TM le Sénateur termine en souhaitant

dhe. 11 félicite les élèves de l'Univer-} re impérissable. sité d'être élèves de cette institution

i PS « 1

| j : s

à

DR 25 RE grade Le à 2 mt fier RE vole AIR PS

ais, président de l'Association Catholi- que Franco-Canadienne de la Saskat- chewan. x

L'hon, Ernest Lapointe

“Vous souhaiter la bienvenue, Mes- sieurs les délégués, est une tâche très agréable, dit l'hon. Ernest Lapointe. Vous êtes chez vous au Parlement du Canada. Vous êtes un éclatañt témoi- gunge de la survivance française dans les immenses plaines de l'Ouest. Le Parlement canadien-est un autre té- moignäge de la survivance francaise. Les gouvernements se succèdent’ rapi- dement, les représentants du peuple changent souvent, mais, au milieu de toute cette évolution, l'élément fran- cais demeure, lai survivance française y demèure dans une permanente ma- jesté. +

J'augure beaucoup de bit / de votre pèlerinage dans la province de Québec. Vous démonttez avec ferté qué le rayonnement de l'influence française ne se limite Les aux rives du Saint- Laurént, mais s'étend encoré jusque dans les grandes provinces de l'Ouest,

Au nom du gouvernement du Canada et de la députation française, je vous salue et je vous présente Imés meil leurs souhaits, Soyez les bienvenus.”

M. Henri Lacerte :

M. Henri Lacerte, président de l'As- sociation d'Education du Manitoba, fé- pond aux paroles de bienvenue de l'hon. Ernest Lapointe, au nom de ses coliègues.

“Votre parole, Monsienr le ministre, est une parole bief-française. ÆElle évoque la yoix du pays, C'est In voix

cas, sue l'éclat de leur protestation | avait pour but de fAîte connaître à tout

1é péys qe sur une pästie du so] cana- |,

dien, une partie de la population était en danger. C'était le sens de leur, äp- pel. lis demahdsiänt qu'on rende. jus- tice à leurs droits, dont, pendant si longtemps, ils avaient pu jouir-en tou- te paix. Ces voix démandatent qu'on tie condamne pas injustement leurs-ré- Clamatiofäs. et “qu'on n6 -détruise ‘ pas l'unité canadienne. Ces apôtres ont créé des oeufrès da sunvivance. Hs se sont créé, là-bas une : situation de premier ordre, fofdañt ur nouveau , [québec dans lès plahiés de l'Ouest. lis sont 1e barrage le pis sûr que le pays

Artisans de l'unité tanadienne,. ils ont édifié ces oeuvres #ñe survivance qui voilèrent à la: postérité l'état :d'infério: rité créées œ des 9: des provinces

“Ces ssbtres Pnuttéen. Monsieur le ministre. En voici une preuve tan- gible que la présence ici de trois cents délégués. Après avoir repris contact avec le vieux sol natal, nous retourhe- rons Jà-baë, continuant à faire oéüvre d'unité nationale. Si uotre excursion

Vous êtes. allés dans l'Ouest chercher | notre clergé et le suivent, ajouté-t-il. | devait se choisir une devise, ce serait: des terres nouvelles pour y dresser | Ici vous étes groupés autour de l'Uni- votre tentk: cultiver la terre.et la faire” versité. Vous y avez planté la croix donné maintes preuves d’attachement

“Vers l'unité canadienne par la survi- vatice ‘franco-canadienne”, Visite des édifices

Le’ ministre de Ta justice invita en- suite la délégation à visiter les édifices parlementaires. ‘Les:délégués visitè- rent le Sénat, la Chambre des Com munes et la Bibliothèque, sous la con- duite de l'hon: sénateur Belcourt.

Délégation aupfès du délé- gué apostolique Pendant le séjour à Ottawa des voya- geurs de la “Survivance franco-cana- dienne” quatre d'entre eux, représeh- tant le Mavwitoba, la Saskatchewan et l'Alberta, se sont rendus auprès de 8. E. le délégué apostolique, Mgr Pietro dt -Maria, lui offrir leurs hommages au

nom de leurs dompatriotes.”

Hs furent accueillis avec une bien- ère par Son Etéalloncs qui les félicita de leur heu- reuse initiative, Ceux qui $out allés chez Mgr Pietro di Maria sont: Brodeur, P.A., V.G., du diocèse de Prin- ce-Aibert; M. A. Marcatte, vice prési: dent, de l'A. C. F. C, de la Saskatche- wan; M. F. Greuier, du Manitoba, et M. JW. Lachambre, de l'Alberta.

A MONTREAL

Montréal — Les pèlerins de la “Sur- yivance . frañco-canadienne” sont en- trés en gare, à trois heures et demie, le 22 décembre, À la gare Bonaventure, aux accents des fanfares jouant nos hymnes canadiens. Ils ont reçu un

âccueil enthousiaste dès milliers de.

personnes qui se pressaient à léur ren- contre ‘sur le quai de la gare dans le grand hall et les salles d'attente, Les représéntants des sociétés nationales leur ont somhaîité la plus cordiale bien- venue sur le 80! du vieux Québec qu'ils revoyaient après plusieurs He FU sence.

Legrs compatriotes de Montréal lés ont conduits à la basilique, à Fhôtel de ville, au Viger, au Monument National, pour leur faire une réception grandiose et. sympathique, contiauant ainsi les meanifestatiors enthorsiastes que leur passage a soulevées daus les villes de l'Ouest et de l'Ontario.

Le défilé par le: rues de ‘la ville à paralysé toute la circulation et a attiré l'attention de la foule des citoyens qui regagnaient leurs demeures. Une pre- cession imposante de 75 À $0 automo- biles tr#hsportait les délégués de l'Ouest, de là fare à la baëäilique ret de ja basilique au palais municipal

"4 FI '

maintenant L

des oeuvres de sait, “M'inspirent à tw-parole d'un de vos: prélats, je voué | dirai une parole qui est. une leçon de ‘courage et’ de: persévérance. ‘Tenez bon. Tenez bon Jubqu'au bout, votre amour de la: foi. / me

Après _cette ‘allocution, Mr Des-|? champs, évêque auxilitire, a présidé la bénédiction solennelle du T. Saint-8 cremént. Puis les dar pris léurs voitures pour. l'hôtel de ville, par les rües ter, Boaver Hall, me Güil et Notre-Dame. :

par une heuré pèlerins dél'Ouest/ ont été le restes |!

En les Poe + récep

Hthcielle ais 3 runtpitpÀ) reconsträité * M. Der Duquette les a aceuéillis dans le grand hall d'honneur, brillamment Aflutminé Tous ont pu admirer is houvélle salle |} réservée! äux grandes réceptions.

“Je suis heureux de saluèr en vous, a dit M. Duquette,“des défricheurs où des descendants de détricheurs, dea pionniers du progrès rapide, de cette importante et belle partie du Dominion, l'Ouest canadien.

“Le travail que vos pères onf accôm- pli et que vous continuez âprès eux, os efforts et les sacrifices qe vons ‘avez sans doute dû vous impüsér pour assurer le, développement de notre pays dans lés provinces de l'Ouest, sont dignes de toute notre admiration et nous noûs plaisons à vous en donger le témoignage. LU

“L'amitié que vous avez pour vor frères de l'Est et dont votre visite est une preuve irréfutable, nous est très précieuse. et nous espérons pouvoir, pendant le-peu de témps que nous vi- vrons ensemble, si ose ainsi parler, vous convaincre de la éincérité de la |> nôtre. Les liens qui nous uuissaient déjà Louis la distance ne péuvent que

affertm à eureux contact dont votre voy age nous procure d'occasion."

A ce discours, deux délégués de

Mer l'Ouest ont: répondu: M. Edouard Ga-

riépy, avocat d'Edmonton et frèré de M. Wilfrid Gariépy, des Trois-Rivières, et M. Hénri Lacerte, magistrat de St- Boniface, présideat de l'Association d'Education. du Manitoba.”

M. Edouard Gariépy #

M. Gartépy fit allusion, dans ces re- merciements, au développe nt: fran- co-canadien de. l'Ouest. ous, con naissez tous l'Ouest, d'il, ‘Rrais vous ne devez pas oublier que nous formons dans la Saskatchewan,l'Afberta: et le Manitoba, trois groupes considérables, et que nous y soïmes très bién tral- tés. Je voudrais vous dire aus#i toute l'attention que l'on a là-bas pour nous, mais je ne pourrais le faire en termes assez Cloquents, “D'ailleurs, vous pour rez en jiger par vous mêmes et par les nombreyx parents que n08 compa- triotes de Montréal] comptent parmi cette. délégation.” 1} ajoute que les Canadiens françafs sont une force de l'Ouest, -qu'ils, travaillent de concert avec leurs compatftotes dé langue àu- £laise à la Tormation de la’ grande pa- trie canadienne.

M, Henri Lacerte

De son côté, M. Henri Lagerte décla- re que les Francô-Canadiens de l'Otest sont étroitement unis à leurs frères de cette province. Ce sont tous des des- cendants de -la province de Québec et les visites que leur font les citoyens de lu province de Québec sont toujours pour eux l'occasion du plug vif révon- fort. li remercie: eette province pour l'épbii morshrqnelle à accordé aux Fragro Canadiens de l'Onest jusqu'ici:

%

T " #3 noue

+ a, lui s'He rt.

© M.-Raymond Denis ” 1! “Nous étions venus,” difil, coma |'

kdes fils depuis longtenips ubsënts re’

préudre nos places aù foyef pâte Æ-l'occasion des fétes du four de r

éi vous nous recevez not pas seule- ment comme des fils, mais comme es rois.

“Nous avons voulu, par une méüifos- tation grandiose, affirmer que les fils de la Saskatchewan et de la rivière Rouge sont restés aussi Canadiens que ceux du Saint-Laurent, Etquand fl fut question de donner un nom à notre ex- cursion, ce fut d'ime voix unanime que] 55 tous les Franco-Canadiens de l'Ouest, sur la proposition de Mgr Brodeur,-ont

décidé qu ‘elle se uemmerait la “Sur:$

vivance franco-canadienne”, seul appel des chofs, de partout les pèlerins sé précipitèrent, abandonnant leurs éccupations, Ils sont là près de trois ‘céhtà, formant le train le plus considérable par sa loyguçeur, par nombre des voyageurs, qui ait jamais Cireulé sur les raïls du Üangdien Na tiônal, au dire dex autorités mêmes de nie. Trois cents pèlerins ves nus de tous-les coins de l'Ouest, fer. miérs-pour la plupart, possesseurs du sol, représentant les tro ojs provinces dex prairies, ‘äffirmant ld $#olidarité natio- nale des groupes franco-canadiens de l'Ouest. x

ta om pa

‘sagés de Mgr Matheu-ét de Mgr d'hommè,

l'Ouest et conglyt en ces termes: “Nous sommes 125,000 dañs les trois

erme propos. -yrovinces. des prairies, 125,000 patrio- i tes. Nous sommes deux fois plus nom dire que ons. # RroNs ren

breux que nos pères ne l'étaient a mo- ment la cessio

bords dé la Saskatchewan Rivière Rouge, Laurént, et d'avance, émetion le beau

sés à travèrs le Domiñion.”

Au Monument National Après le banquet, lés délégués ont pris le chemin du Monument National, en procession, précédés par les raqüet- teurs du: National et leurs corps de clairon, En arrivant au Monument, ils

quant toutes les issues ;. {1 a fallé toute l'énergie d'un fort ‘de po- lice pour faire une trouée et pärvenir

partis N cad ra ane qe ve du Je tous et à propagande ac activé

II tracé le tableau de ja | "0US “survivance religieusé et nationäle dûns: apporte le pardon ATOS les

Avéc l'aide de la PE noûs syons réalisé bn Vä#lante proÿince de Québec et. la igune.

fierté, nous renouvellerons sur les A l'Oratoire Saint.Jose

et de la! Les pèlerins du voyage de la le miracle du Saint-| vivance franco-csnadienner

je salue avec | en Erand nômbre, méreredi L geste de la province | messe dite à l'Ofatoire Saint de Québec étendant largement ses bras | par Mgr Brôdeuf, de Yévéché de

dans un geste protecteur pour presser | Albert. Le À. P.Altred , sur son coeur, (ous ses enfants, disper-| provincial des Pèrés LUE

ss me à eme ke:

est organigé

ÿ té mg ©

système; recherchent rer

notre arme nn 1 M PA 0 er ge

€ . CA op ee “Nous sale np que nous étions quand nous #

“Patriote - Nods avo gardé notre ie, Cr à 1" tion de nos sées comme He: avons gardé traditions, grâce à. pureté ‘de notre foi et de no$ moeut Nous avons en : nos coll < institution C nous. ROUX | LR TT à e fallu faire. 1 fait tpiriisalionent | e œ reproches à la_ province lé q qui a .beaucouÿ & se faire ner dé son apathie dans a: sacrifié, dit-11, és a?

pr, "M. Denis donne lecture à à nes poor #4 prete) I URRRE © 4 enis donne lecture er des intérêts de parti. On # eu tort eÙ

en avons souffert.

mn

dition que vous le repentir et Po From ct HE à

que nous continserôns à lutter

ont

leur à souhaité ja M. l'abbé Adam, €

dans la salle où des des places Stajont ré- ns

servées aux visi Foule immense

Le Monument Natfoñal Li cé euvahi Marie. tires, ds (Suite à

de benne heure: dès avant

Soeurs des Saints ia quatrième

cd Lt

— L£ total des-pertes françai- Maroc depuis Je vtmmeñcemen

M ésesocrétaire d'Etat à |n #üerte. De ée nombre 2,805 étaient IMdigéres

@t 2,508 hommes tués, dont 180 Etaient

pre Pi * La cloche de de Rovereto

" mi d'Italie présid présidait ‘récemment à Rovergto, dans le Trentin, l'inauga- tation d'ne cloche monumentale fon- due en mémoire des soldats morts à la Le métal de cette cloèhe, qui wunze tonnes, a été fourni par des sofferts par toutes les nations * qui dut pris part à la grande guerre, «vainqueurs et valneus. : La décoration en bas-rolief, due au sculpteur Zuechi, comprend {rois motifs, le départ pour la guerre, les mères ét les veuves sui “ant le cercueil du soidat inconnu, et la marche triomphale des nations vié- . torteuses. IA cloche est placée dans le vieux château dù Rovereto et elle sonhera chaque soir, à 9 heures, en ‘mémoire des soldats morts. ‘ Rayéreto, située dans la vallée de la PR NE entre Trente et Véroné, fut tre des principales batailles du aa italien et en partie , mais les Italiens la reéons-: Le rapidement et Tétte ville F aujourd'hui au second rang par- mi eités de la province qu (Trentià

et du HautAdige. Un tinéma à pour les thiens

2 directeur de thé de théâtre cinémato.

«+ trabhique de Londres a éu l'idée de

fèr une’ représentation etclusive- l'Héabtrée aux ché ‘710?

forcer la royauté da Christ sur la terre. PIE NT FERME LA

} rt comprennent 149 offcters :

elle doit coopérer à accrôïtre et à fen-

: PORTE SAINT

troié millions de sd attique

à 5 cie

‘hote — Sa sainteté Pie XI, revelu Lau dé ses plus Vehux ornements et entouré | nid1iéé"àUh et “ab ans ont été expé- des diftitaires ecclésinétiques de la | diées de Wainwrigit à la réserve de côur pontificale, à présidé à la cérêmo- | bisons des bots, rirès de Fort, Smith,

nic dé la fermeture de tajsainte porte dé ia basilique de Saitt- Pierre. Cétté éérémonie, qui avait lieu jeudi matin, niarque la fn dé l'Année Sainte, qûi n'afrive uns le caléndrier ecchésiastf que jdue tous les 26 anë. j

Une céréthônie seiiblable avait et lieu à la iêine époque l'an dernier, et Sa Sainteté y avait aûssj présidé. Depuis, plus'de trois millions de catho- liques de tous les pays de l'univers &è sont rendus à Rote pour/ présinter leurs : hommages de dévotion et dé loyauté äu Saint-Siège. La plupart ont pu baiser l'anneau du Souverain Pon: tife ét ont recü dé Sa Sainteté une mé- daflte-souventr."

Plus de, 70,000 personnes, étraugerà et romains, de toutes les classes socla- les, À partir de l'humble onvrier jus- qu'à l'aristocrate le plus authentique asélstalent à la cérémoni de jeudi ma- tin. Une foule innombrable attendait déhors £t 41 n'y avait pas un pied ge terraih du Vuticah noû octüpé.

Oh dit qu'à quelqués détails près, la éérémonte à été en tous polhté pareille à celle qui eut lièu en l'an 1300, alors que Danté ét saint François d'Asssise ÿ mssistalent.

2 Een rentree nsôez fdifférents à la première partie du progranime, qui it pourtant ur film reprodui- sant un numéro de chiens savants. Mais quärid !” écranfit défiler devant eux une \vhasse à courre, avec uh cerf dé: TT poursuivi par une meute, ce fut un enthousiasme indest{ptible’ Des ” ax if étourdissants se firent en- e Et soudain, trois Spéctateurs, ox io de conserver plus long VE Le vtt sang-frol, sé précipitèrent Pr toflé ét la déchirèrent à coups de ‘ctocs.

Quand les spectateurs humains dé- ent une pièce, ce n'est pas par

excès d'admiration. ; ®

25 Le.

KIDNEY

La ignolée À

Auttefoïs, la veille du jour de l'an dûns toutes lés paroisses, dans tous les villages, on chantait la “Ignolée”. Ceux qui la chahtaignt s’appélatent les “Tgno- leu”, et 115 18 méritalent bien. Armés de longs bâtons ét dè sacs profonds, il$ allaient de porte en porte, chantant sur le seuil, plus souciewf au bon sens qué de la rime:

! * " Bonjours 18 maïîtfe et la mâîtresse

Et tous Tes gens de la mAÏSoh£"

Nots avons fait uné promesse

“Devenir vous voir uñe fois l'an.

ls Vaftaient la mesuré afec leurs bâtons, et, avec leurs 4268 Îls recueil- iaient la éhignée. On les récevalt avec plaisir, et on leur donnait abondam ment, Car la chignée — c’est à-dire l'échine d'un porc frais, je suppose — éiait destinée aux pauvres de l'endroit. L'égoïsme, qui £e flissé partout, se alssa jüsyüe dans les eceurs des “Ignoleux — Auri sacra fames!" — et les “Ixnoleux" finirent par n'avoir plus de coeur et par garder pour eux-mêmes ce qu'ils recevaiént pour d'autres. De ce moment l'antique institution de la “guignolée” fat condamnée, | Le four de l'an eat une fête #ss@niTel. lement religieuse pour les chrétiens On laisse elers J6s travaux et les affai- res, pour venir, au pied des aûtels, re- mereier le Seignèur des années que l'on à vues, et le suppiier de ne pas mous rayer trop tôt du nombre des vivants — l'éteruité est si longue! LPampale LEMAY.

le Sing

Je Ferme)

is a Em rt d'Abtigonieh, |

(Les chalands ont effoctué tes au cours de l'été; et le'dérater en. voi dé Eischs “ boîte de Diam Dinner | pendant 1a ce sys d'août. diode Be’:

Depüfs lürs, les es qui de gt EPA 4 conter ‘qdèies panel Vient DE PARAITRE

‘ques années protègènt les bisons d 'Almandoh 1985: rh. Montréal LR ae L —_ tiale del mo 30- Université Laval, Québec.

ür que j'avais entre les ont été confiés les nonvpäux arrivés, a à mr ést ârue. Je suis | ont fuit rapport qué les bisons des plat | $ so BE PRÉ prie. : nés et-ceux des bols se mêlefit sans] Cet Almanñeh contiént 186 pages: diffienité et que lont j:âtdte qu'avant | 33 ürticles dont 27 sur des he catia- lénetemps 1és deux trcupeaux n'en for- | diens. Extraîts sombreux et lvartés ‘meront plus qu'un. *. {de ons teurs Rens Stacisti | à +...

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obténu À Wainwright se régétéra dans

la région des rivières Slavéiet Peace, | 44 paysages. » / | ET téntés par le Canada en vuë de sauver vi PRE Prix: 50 sous l'unité, 60 sous trade: 22 #2 le bison. de l'éxtinétion est démontré

480 la à î rt par le fait que le vaste’ pare dè Wan: La culture du chanvre dans : ne ne EE ee

do moniménts religieux, 50 portraits, | ; CARTES PROFESSIONNELLES À théatre. rnépocntiqtmmmemmanet

Le succès qui à couronné es efforts

_wright, Alberta, qüi niesuré. > - les jardins ublics de SNA A ER

15 milles de/longueür sur 13 milles New-York ss ne Pr largeur, et qu'on aYait éru amplement Pis © * 7" - - se : carte, chambres suffisant, ést aüjourd'hui incapable 46] On vient de découvrir, à New-York, Ç 3 d ; S uk . , simples et doubles. Satisfaction assurée nôurtir un plüs grand nornbre de bêtes, des contrebandiers d'un nouveau gen- arles e 0 aits-de Noël Latourelle: Frères, F dé sorte qu'il à fallu prendre dés mere. ;lls cultivaient du chanvre dans }{} Enveloppes de Noël: 161, NOTRE-DAME EST, WINNIPEG sufes pour disposer du sürplus résul. les jardins publics, à, l'insu des jardi- 83.00 du mille » d + tant de l'éccroissément annuel du trou- | niers, et au lieu d'en faire des cordages

peau. Dé temps À autre on a abattu |jls en _extrayaient du haschieh, dont |} Plateau de quête en alumi- VITRAUX D'EGLISE

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, 508; D nié, LATE Ce point trés. ant n'a pas échappé non plus à M. profvésseir | a evene 2 Les go s bles nt de Mt l'étrihrièhe-1à shrtoët, bien des sims Ah A fa: D. Lt a ‘4 Charles Gautier, dà Drôi d'Ottawa, qui écrit de son côté: 3 +. pre a st à x rchér à: oi sé de fast. Te émRpe . per. si anelise, rt PU "sf 9 F Ainsi il suffit Gé fois cents de tébkoibattiotes 46 rpueat rtérat : roi at da 0 ARTE LE Pipe : | décident Ale # diviger véts D'Est pout que 1è Brétiférs miniitres Che d | {e no a fo NU TATTS por RE A ru d SUR ” bee Et US de la Sadkatefie#hn ct dh Manitoba tiennent cux-mêmes à sou- nus “ rent, élus os ar suivant: Mel: v se ET : haiter bof voÿäge à Tents éoicitoyens de langue française. reaii Eh { “Re va À bre_ honoraire, Moi Richisoie MWoite —— pote: M. WE . Et dans vésgfehitontfes entfe les chefs ct leurs sujets, ce ne ie D centaines. De m Le re ns Où æ. Tobin, :POb. totale, 42,244; LE si. sont a de vis DO Qui s'échangént. M. Doñning, premfict A avtiit vécue Prompbrt dar r vaincu, Mais suite rel pes ve be ee ET gr Fnonton pro 85,698; pop. aikiaïsé, 0, ; ministre de la Saskatchewan, brovice où les autorités ProVin- endrôit sans c AT qu'au fie à ti. Lu Edmonto er Mar Mid: 1 bépité: Ne gare à cialés ont établi uÿ modus vivendi qui est un-grand progrès sûr Hosaien, à en ner, é le $ econnurent pite et [tèt, Morinv rés. Pop. totlué, 40706: pop. ra Ne | | ff la sitüalion äntécédente et:dont nôs compatriotes de là-bas sont Pas À : ok ogécen eur en, du en 1; J-À. Cant =“ dmonton; { Les Be vise, 20,710; pop. ‘anglaise, 9261; Ro 029 satisfaits pour le moment, à exalté le rôle qüe ‘ta jésticé doit d'äù re Fame je LT 12 ; P. d tre, 715. éà va # dE jouer dans l'éméhté entre les déux grandes races. 11 voit dans qui elte en 2 tr ne ps PRE] den M a; 5 Pons Pt ' Kbno#te. "| Mie Voyage actüel tn grand môyen d'unification de l'Est nvec ous les molneaué LA qi Yu ” oL pr à Due a pe H rod. FE Prothesst précieüse, il: assuré Wfüe tes colons de houvelle s'en répan fayai er aie 4% gs ES Vols RE uts, ;. t.

f Québée Trouveront dans la Saskatchewan la ProRerRs ét la

‘ Au Manitoba, duns l'enccinté dà Pattémént qui a rayé ‘dû p faisait FAN Re ge dan pere og d ùt À Lara à A progtamme éc'tbdtés'tes écôlés jriiairés l'ensétgirement dû | at de ‘la riviète Lhaldllis das pr ét tab Yée He 4 é À frantchis étidé 14 feligioti, un/dés voyageurs ne craint pas d'afhr- val à vi üné vingtui- î PTE ee VA SRE, non tres protinces anglaises. ï mer bien haut que “la race française vossède certainement dans À nt après s notae dés saga, de à 1e comité est sutéridée à cholafr | ao ot à quoi bôn*? Pour sa LE

| inuliénabtes el Tmprescriplibles, basés sur la loi naturèlte, $4r

] qui sont ättés tà-baë rectéillir l'héritage des découvreirs, fécondé

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la conservation @e ta-foi catholique &t dès traditions he = a Fe p sd, ar À pe sé ‘Atélaerent htm à Hncer teur cri Sopuation franéaile, dt; pres ne 8 rep s'éfforée de Taïre plus digie la] SA IR GEO à + À oui fifion dé «Non, rien de] 200pe dix ( séths d : l'anglaise, 7,898; aütre, 16.

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:, Preuve nôdVelle que le meilleur moyen pour ñôus dé vémef à =. Jni, el ulc, chûse à. Jaire, |eucebs a “ea M | pép. trançaiée, 16052; vor. ei

mander le reset des ARTE, gi d'abord de nous Mia rl Are in ae} ua di fps . à Te het 04 ae pe À dl | respecler nous-mêmes, dé mous nonlrèr te duc nôus sommes, appel Dlès vé et #1 ca à ” { françaises. ; ‘ avec nos croyances, MO Trâditions ct notre. ferme folonté de des Oais de que À sd sur là sn ro htm vs

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bonné ‘entente. vorne Sylvébtre, Edmonton; J.:A:

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avoir enseigné . nouveéaù à l'Université "Ottawa ét ae été missionnaire à Québec, à Matièwa et dâns le sud des

Etäts-Unis. Abpfês deux añhéts passéès au Cap-de-la-Mudélet-

ce pays de l'Ouest et duns cette porte da Marttoba dés

so Re largeur d'esprit? A e noûs ÿ avait De Le CH, ours, T1 s, [Ur rat Hent jamais pa e cônten

en Dre de Bur es OP RAL SR Fe Eee Doit nr ÿor na] Er ne conponts je | te ru indé Mérents. Ilé Cène. | té teur van gt à de votéf pour où Conte, Nos, *

nés titres historiques et sur la 1ôi constitutionnette droits grec votre gonbernement: $e É crig sans doute à reconnaître et à cansidérer avec sympathie.

y $ ne (1902-04), 51 fut appt sé à dretent qu'un oeil ef seukemenrt | se ni | EMOUVANTÉ BEM et at pendant aux 2 neau Le st em péhér: nest nous à 4 LM PES M AE PDU dd

édité +" mt: her Je Le moi 1 | 1 F1 ( ie 4, 141 2 ïà “Sürvivance frañco-cañadfénné”: —M-Onmter Héron ésptre que le grand public sehtira l émou- s'appr past es À des that» et} 4 à" i déles æf . a ar MONT PERS à vante beauté de ce péterthoge dé la Sivivanée. Fee ol Ts fl Fonda à Saint-1he se luéssent mas fasciner.. Hs|ÿ°) ap-hé dia É prêtes ho hs le 4 des malins de os éndemis Qu u'éntre 1 pa ds, cérflfh quelque chose Qui ne saurait laiséét indlif: Bonifate We reVüe rénsuelle : tig 4 3 SU dans ini LR PAU TETE ïs: 1| tou de nôs compatriotes êt pe férent auc un coeur bien né. übtifs, ur bla ï nlen ré. LE pur ge. se ss “À 2 té. y dé Sue langue, de mème Sen : 4 eau apeuré, pr per ifafchands | dé méme. mentalité? : Songez que Eux Viënnent du fond de l'Ouest, d'un milieu Leur activité n'est pas désor- |‘ le. sig F ge : ec Non, les comtés à Majorité françal diffiié chtré Voià/'oil Hs 6ht dû se heurter à toutes ls vppost- -1 donnée, mais s'exerce avec mme -Îse doivent d'élire ct Féprésé 4

ie cause qui n' pas ph ei fntérêts sont-118 plus en sûreté

tions, à tdutés les hostilités. Îs reviéfinent nôûs diré:, Voit ce la spèq . D: nt de bândüe: 2 forgérons: Ldé 14 majorité àb If popülation: !t que nous dvüns fait, toiél ce que nôus Voulons fäire encôre !” sé Ha rang e11 bi 1 pere 1 Los : laver que "y ra Ne a. PE {x qu'ifs Ont fait, ée.sônt des baroisseé, les maisohs d'énsel- liés 5% [6 "

‘ [inoérätie potitiqie. Les ms vratéit etre ru APTE c'est tout. Or Où s'exbree gr : iient le “Fair Play” ritähaigie vif

à-vis les minorités dans ce paya.

re ?-- Est-ce dans l'Ontario provinces. marftimes, ‘où ne FR

USE l'Ouést? Potrgäbi aièrs Québec él

gment, les Maghifiques associations de défense qui pourraient we vffrir d'utites exemples; cè Qu'ils vitéñdent fairé, t'est pérachever l'oeuvre de la Survivance.

EU tes plus étotgmés entre Cux, COLE T'AÎDRErTA, hou ‘apportent précisément la nouvelle de la fondation d'une Asso- ctuion d'édatation Qui dohhera là main à ses soeuré de là SaskatcheWab, dû Mañitobà et de l'Ontario. La chaine frater: nelle se tend d'un ét à l’autre, car les chaînons de l'Ontario

1

à survivent æ sont! en eines de vice. Il a aussi publié | rent

quelques épüsculés conférant traductfon dés Æymrres ‘dû

Bréviaire.

Voilà résu ève Je DEME ét 0

es adu pre es de ga-

s\gner leur vie, + PES mp! idéut el de J'Ouest RER se noucr ici à ceux du vieux Québèc et Viènt dé se 1 Vru le; AULYSSE. Ale c fi He de KAeadie, , 11% fie vingt ve are KA A ent : ; Mgr % Wa Br à ilière aux ht- | s grattent le’ en'es pas Pre “a 2° d'Æducation dû Manitoba, M FIDÈLES AUX vi ITIONS Hohifuee qui l'éiaient CLR NE | pendant le cabire complet, d Denis, re de Fa sai Le Do Où 2 Latour: .Jaéraient. Les chfants 4 les moineuux ne demeurent pas Kagos M ps ta Saéiheriré dat

maissaient d@ssi. Au vours onglemps ünmobilés 61 temrs| Montréal — CB. GArby, fiémibré dé ven de 4 H Fait bon efitendre M. Raymoñid Denis, présidént dé l'A# dk 8 à avait fe Gon,

SHEVR thslants de répos gont remplis chevéque de a le “ue de LT Ausochétion Le xs de 1'Albertà, socidtion Céllioliqte Franco-Canadienne de la Saskatchewan, | Pur dnè ; bataïttes Du Cà,!etLhon. Athanase Dayid Dre eu”Tofin

redife contbien, malgré le temps et If distuheé, 14 Cänadicns “rs wi vi en venir aux pi rives,

proyineial Eee so nomade piNa-:4 Fr dé TOùest restent fidèles aux traditions de la race. Pl gr Er av

fiera de js. Légion d'ions (12 'fowise qui pense” “Chôse cértainé. déclare M. Denis, fs n'ont fus dégénéré ceux

Fer Hiufret, airécioë du ER bc et l'hon. PR. du Tremblay, Helen Tüsrdéher, femme dé Qui s'est spEtIANES

: epaselller iégishatit "l'un .des dirée- É teurs de la “Presse”, che- pe dep sers ed scientifiques sur ta valiers Me là TG 2 eg välbur relative des cerveaux des deux Mér Mathféu était déja chévalter di ge os te magie mo 1 Légion d'Honnèur. 1] &èt adsét com) % mañdeur de l'ordre de enaléutiet y SatntGrorge. Fes moiTraUr. NEW-YORK — “ Prank-A Munsey, 168 : Ch s moinéanir qui tous fes grand srothlaire de Journées, “nt 3 D:L.- ‘Jours évoluaient nl nuat mort d'une péritomtee, -

par te sanff'dé nos mértyrs: is étt à Corur de faire Roieur & la vêeitte provinée qu'ils ont quittée À qui téur est enéoré chère au eur”. Ce soit là dés Paroles réconfortantés, bien Propres Î inspirer lt fiefté et lu confiance.

x que: vos ftes dé V'Outst éantdién sachent bien que. de

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gr ps Se Ha À M. Georges de a €. Cham ST ; l'université de Lévis Re: toi que sortia le chef qui doit rouver- LL MacDonald. ‘Mer D mer mon peuple d'Isreël, Alors Hérode français à l'usive Lui Latenquit - chewas, M Arthur d'eux: l'étoile été les orsteurs en Le ; EE ER 1 province | ec mes vous

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- AÏ'Ab! si nous avions partout des rell floues ou au moins d'excellentes ins-

Marcellin — M l'abbé LL Adam.

eh rois que nous sommes reçus depuis Jésns dans ‘e.sam aire de la Grande nous avons franchi les frontières Thaumaturze de Sainte-Ante de Beau-

me”. EF :) | qe A SAINTE-ANNE DE! BEAUPRE

Rartie composé de fermiers des plaines C'est Mer Brodeur, vicaire général de l'Ouest, qui viennent se retremper | de Prince-Albert ‘qui 4 célébré la mes- au foyer de leurs pères, du berceau de se de minuit à Sainte-Anne de Beaupré. la race; mais,, n'importe, ce voyage! ML les abbés Morissette et Emmy as aura üa résultat henreux, et nous som-| sistaient le célébrant

mes contents de vous le dire Quand: Le sermon fut donné par le R P.

+t-ae bonnes institutrices” Celles qui Échez nous accomplissent un tra- ‘admirable, mais 11" fhikirait que le sen fût doublé et triplé. Le €hamÿ d'éction est immensé La mois- son est très riche et elle:manque d'ou vriers. Nos écoles plus faibles, celles Va-te français n'a été enseigné que de façon intermit tente parçe que Le pouvait trouver de bonnes institu s éausïishnes, et même dans celles là la-lecture en français est générèle- | Saint-Hyccintbe — La villé de Saint- Mméut: bien passable, nos écoles plus | Hyacinthe a offert une réception en- fafülés ‘pourraient alors atteindre le | thousiaste aux membres de la “Survi- niveau des autres.” vance francocanadienne”. IL y eut ue g A $2 “+ réception à l'hôtel de ville, à la cathé- À nl Au Cercle Universitaire drale et au séminaire Les orateurs L : A M heures, il y eut une réception | 4y premier endroit furent M. le maire , time -au Cercle Universitaire, faite | Bouchard, C-E, Gariépr. d'Edmonton, lès ihembres de la “Liaison fran-|je chanoine Desranieau, qui parla au L aux excufsionnistes de la “Sur- nom du.clergé, Mer Brodeûr au nom vivance franco-cahadienne”. Un punch | 4e ja Saskatchewan, M. René Morin, d'honneur fut servi. Parmi les délé- | 4éputé, au nom du comité, et le magis- Œuê$ dé l'Ouest qui y assistaient, on rat Lacerte, au nom du Manitoba: à remarquait Mgr Brodeur, M. Raymond de l'A CF djié R P.-Magnan, directeur du collège de ‘ Gravelbourg; le R. P. Auclair, O ML, ‘M. l'abbé J.-A. Morrissetté, M Henri

aÿez fait montre bien que, les coeurs des Canadiens français de la province de Québec battent à l'unisson avec ceux des nôtres \dans l'Ouest, que fes mêmes traditions sont toujours en honneur au berceau de la rac

À ST-HYACINTHE

Nourriture d terre en 1925 D Pour les N\]

Régine, l'on a vu tn premier ministre | cêtres et les assura que la province de interrompre la session du parlement | Québec, de son côté, ne les avait pas| Mile Gertrude Michaud pour venir, avec ses collègnes, nous - saluer à notre départ et nous dire com- bien il était heureux d'adresser à la

' compte d'épargne. à la Provincial Savinge Office; et Jetez ainsi les bases d'une nouvelle année brillante, heureuse et économe.

nous faire prendre conscience de ce | siens de Beaupré de prier pour les mis | "elle. Hormisdas Quintack que nous sommes. Au Manitoba, nous | -jounaires de l'Ouest et pour larche-} Saint-Denis — Paul Dinelle, Mme fûèmes reçus par le président de la) véèque de Québec: S G Mer af. Paul Didéllé Lionel Dinelle, Henri Di- Chambre, l'hon Talbot, un des nôtres,

nonçca une touchante allocution à la- quelle répondit éloquemment lé KR. P. Adam. Les orateurs au séminaire fu- rent M. le chanoîne Léon Pratte, supé-

Ed emnlranere |

Lacerte, Saint-Boniface, M. Gariépy, | rieur, et M. l'abbé CE. Arès. et par le premier ministre qui nous as- JulesB Leroux, Thomas Roy, Mme|lfnnes auraient pu'être épar x Edtiônton, et M. Michaud, Prince-Al-| L'organisation à StHyacinthe était} Sur de sa plus profonde bienveil- Thomas Roy. é Cet incomparable remé- + Vert: parfaite, et Von a su s'adapter ingé-| lance à l'égard de la minorité fran Debden — Narcisse Cyr, Mme Nar le side très efficacement tous Parmi les membres du comité per- ! nieusement à des circonstances spécis- gs rs Cyr. ceux qui sont affligés de l'asth- mañent de la “Liaison française” qui | les créées par un incident pittoresque ML le premier ministre. ajoute M. Delmss — J-E Chapat, Mme JEL. vous l'aspirez, il vous étient présents, on remarquait M. | Certains membres de l'excursion s'é- Denis, je ne viens pas ici pour essayer Chaput. Yvonne Chaput, M} Pelletier, : si l'abbé Quellette, rnissionnaire colonisa- | taient amusés tellement à Montréal, | 4 dépoupier la province de Québec, , Mme Litour, Benoit Latour, Mme Ri | teur;. MM. Claude Melançon, Yves | qu'ils manquèrent leur train, bien que | is s'il An familles qui se croient chard Prince. ? 3 : Tessier Lavigne, l'abbé Gingras, MM | le Chemin de der national du Canada | °blisées de partir pour les Etats-Unis, * Saskatoon — Prof Henri Turc {sin peut \ / dd Beaudry, M. Laforce, Lucien | eût retardé de trois quarts d'heure le} 1 Vaut bien ‘mieux les dirigèr vers Mme M Bernard. Prof JL MecDenalà he nt 0 "à à" , 4 L Luc Dugal et autres. départ du train spécial Les retarda | l'Ouest, où nous les accucilierons avec Harris — Denis Pajot. Joseph Pajot 4 Le dr ie dy joie. Elles y trouveront peut-être la t = prospeté. Le groupe franco-canadien la Laventure _ = de la Saskatchesan (55.00 âmes) pos- ‘À APPRECIEZ LES * sède des terres peur une £to- »s VOUS QUI bale que l'on éyriue à huit cent millions 7 < de dollars ” ‘ A l’archevêché — Les visiteurs se rendirent ensuite à LR : l'archevèché, où ils furent reçus par « +? avons en stock les froinagés d'Italie et de France: S G. Mer Langlois, administrateur da +: ROQUEFORT, SERIENZ, EMENTHAL, GRUYERE, ASIAGO, diocèse. les bres du et de 4 FROMAGE À GRATER, FROMAGE SUISSE, boîte individuelle. de a en qu ZPpur vos sauces que vous servez avec le macaroni ou pour La soupe, 7 —: nous pouvons vous fournir le fameux CONCENTRE DE TOMA. D] "2" Lapointe, président de ln Société Me TES ASQUINO”. Ce concentré est très en usage en Italie,’ Saint Jen Baptiste. présenta la délé- 1'- «+ la demande au Canada augmente. &atiou à Mgr l'administrateur qui tros de macaçoni sont “PUCCINI” et “PASTENE” va des paroles touchantes et émues + ge importations: CHAMPIGNONS DE COUCHE, CEPES, AN- RP Capri nue views ss Joie de LA cHO!s, SARDINES, THON, etc. Le é 2x recer ls visite de æs DB © Auclair. ) =. EE gun Vo RE À a Mme Jos ; d , VISITEZ NOTRE EXPOSITION : è tent n. ‘Les du 24e} décembre, ouvert jusqu'à 11 heures du soir Puis ce fut là visite à l'Université Mlle B Matte, Laval, où Mgr C. Roy. recteur, prones- éry. Mme

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porté lu semine de $195, en ee Faune COR MS RUE )

nombreux effets de toute nature. C le curé Heynen, Bruxelles... s A l'archevèché montant à été remis à 1a Société Saint- “rn LE dns Kobk, Notre- tie Vincent de Paul et sera distribué aux |! me de 0 -.;.rrun 2 I G. Mer Hélivebu est de rétoûr À. "app Fee cr M Le oe E vaut vrés de là parofsst. . D.-Coriër, La Saïlé ... + ee pb si amples U 4 4 Le “Voyageur” ‘organise üñé aütre |. C. Ghghon, Saint-Aüoïphe. +? lus'enrs, dé n08 jéüties boñt “entrés quéés qu'elles, ùv Lette éom- p a Mgr l'Archevêque Le) re sôttte pod le Atitianéhe 10 janvier de ms Philéas Hatrel, st-Aûolphe… ans là nfouvellé Congrégatiôn de la prises par jeunes on cu. nt A ga OUEN Ep mx et espète’ bientôt Ars r l'an neuf. Les raquétteurs froût à St. [M Méhri Ga£nôn, La Broqurie, ,EN 1 safñte Vierge récemment tofiée. on “ge Lei nnp à Dev ®%: Latoipne et seront ten êtes te M. te| M. Jülés Walleyn, Marïapalih.… 1.00 |hné Éétle soirée duinéé ont doflié leur] = éère Soucy, verte 18, étirant F A : Par: curé Gagnon et dei se8, paroissiens. M: Jeah de Froment, Soïerset 5.00 nom Ad cab méfie ; plusieurs Y'avarent Sonty et d'Heéfmancé 1ANATY. r- A'lh cäthédrale x Ceux : qui tonnaîsseñt la. proverbiale] M, Ÿ. Doÿôh, Brügéhes …..…: .…. 16.00 |'aéfa Aühie auphräYant. Lèur exémple

rain, Agenor Landy: marraine,” Aurore 4 Sotèy, 6h épouse) ”

Le 21 décembre — Jumeaux de Lone- ly Léo: Jobèph-Jeëh-Bäptiste Spenée, enfant d'Abraham Spencé et d'Eliga- betn Pet. ‘Parrain, Eâouagi Spence: marrainé, Katherine Starr, s0ù LE Wilfäim-arthur Spence, déptième dl pi Abraham, + et d'Elies!

Pafraîñn, Will Sfngdtr, Ÿe- présenté par Abrahâm Speñcs: mar. raine, Mary-Janè pere représentée

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ht le 4 Janvier

\ 4 Lever dé rfdeaà, Soir: 8 h. précises Matinée: Mercredi et s4-

medi, 2 h. précises

gaieté de M. l'abbé Gagnon et son hôs- M Ba. Jacques, Saint-Glaude. : pitalité saveht d'avance que les excur- M. J.-C. Blais, Saint-Blniface. . sionnistes ne s'enñuigront pas à Saint- M. A. Pelletier, Saint-Pis (marée fdt chäntée”par Mer M apÈg ‘Adoïghé! .L'ôn sé rohûra eïñ tramwäy M. Noël Laramée, St- Aidighe. à lubsbnee de Mgr l'Apehevéque. LA |'äfimanche Matin jusqu'à Saiñt-Nôrbert M. Paul Saurette, Esteflibr,.… #0.00 Gralé-de"la câthédrale, sous la di- et de 1à, en raquettes, Joat'a Saint. M. Geo. Brunet,St-Jean- Baptiste 15,00 de M-Hélie, rendit une mess totph a # roue e i de & où on passera ia journée | M: Joan Delsquis, y hé abtié ädmis les seuls membres et les habi- en musique él nos vieux cantiques. Le soir, le retour s'effectuera en traià dù Lourdes :,,5,50 so se 5.00 tués de l'Ü pet A jent ‘d'ait. L'église était jollinent décorée et la! ou en anto. si l'on pout trouver assez |[M. G-R. Brunet, Saint-Hontfäce 2.00 Hé pvc crèche de l'Enfant.Jé us, très jolie aus- a automobiles. [M Gust. Gosselin, Saint-Malo. 100 re A Se Er Lee “ et si, hvee ses petites maisons juives, M. Jean-L, Hacault, Bruxelles. 25.00 râ es-éspèces de concérts-boacatie

mérite D En is} de js ” ou

| Une foule immense envahissait a céthégprale à la messe de minuit. LA +

thé je à * Le concours dé dames annoncé ét MS: aura ligu au cours du bis dé jan vfer. L'on parle aussi d'organi-

ser des caurefies ttes oùsseraient

ou MS U0S Steie, Après die Tong | ét dbtiowtése maladie, M. Witiäm Ver. mette, un; icjenis de Grande Po Res pTt) it Apé de 66 àns. # . *+ ide les ont.eu lieu à Saint Norbéri:te 22, du Milieu d'uite gratidé

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(ue LU dû Un conférencier ibtérésserait son - BC, WHITNEY : ne sés moutons joufflus, $es sources dans M. 2.-E. Arpin, Lorette ....... 50.00 , / ' toulo de et d'amis. «Le fervice | pat Esabeth FIBI, LT ehoes où (es borde di visent Collège âo-Saint- Boniface D Lonts-Cnarrfère, Nb De. fauditoire et 68 11 y aurait ef plus ün présente le drame funèbre uté par Mer Chontierf|: fi court programme ‘musical; le tout fac ||: vo VE 2 f adorer Notre-Seigneur. Ex Père Rééteûr & rés pères dû Col PU PRET ER E UP ANS OU 25.00 r$ k P. As: V0» à té de MM. Jes ebbés ï p dans intimité . ME sans apparât. Mésier et “rsgtl Lomme dière àt HreLcEr | lège sont heureux, à l'occasion de la M. factôr Deshayés, Notre Dame . * | né ve: | Le chant fut exécuté par La Saint-Jean. Paptiste | nouvelle année, d'offrir aux parents dé Lourdes-.....:......... -5.00, Le nettoyage pa se continue! | les Maves- du cluvent, sous là Airet- Le ma 15 décembre avait lièu une g des élèves, à tous les anciens et amis M. Vred. Moquin, Säfni- 47 6.00 | Losi changements que sübissent. nos E tion'tes RR. 88. Grises. partib de cartes organisée par les En-| La Société Saint-Jean Bapitite est} du Coliège, téurs meilleurs voeux de | M. R. Granger, La Broquerie..…. ‘5,00 | 1Âurs ‘et nos salles s'imposalent et ce

fants dé Marie. Le programme musi-

enfin arrivée à un but longtemps pour- bonheur, de santé et (de sucues. ‘cal attrayant comprenait: Duo de pia-

"William Vermett était né dans ". .Æ «a 2 * suivi. Cette semaine même, notre 807] + bleau d'honneur pour décembre .

ce qu'on W autrefois “Ha Pointe

À

M, Aug, Rey, Saint-Claude .… 5.00 | n'ebt\que le désarroi des finances qui M, H. Fontaine, Ste@lisabeth,. 15.00 |a pu en retarder l'achèvement. Main

#0 par Mes Jeanne Jutras et Clara{ciét5 nationale sera reconhue, incor-|. wé-ineation — lxéellence: Albert | M: À. Gala, Letelller ........ 5.00 | tenant que rau$ commençons À nager ‘mou on guerre rer de Fri Bouchard; ce; nt par M. Frank Gal-| porce, ‘ét Yetevra Ta pérsoniiatfté mb- | Girard, a 15 Dilbenes: M. Æv. Hébert, Saint-Malo :..., 5.00Jun peu au-des Te J'eau, ou + mo

5 , k et des plus honorables fa- lent; détlamallon par M. Ernest Bois- ralé, qui lui donne le droit de posséder, Roméo Guilbert, Hilaire Bériault. A JT. Morin, Samt-Françors- À à montrer “à aûtre la tête, GP: Qi IA \avec ’ Î fe Méétisses du pays. Lon compte y, Une désopilante comédie: “Les] d'émettre dôs actions, été. Lés off: III Grammar — ExcoMbncs: Géorges || PS OPEL ID ENS PCF PRET 5.00 nous oh “brontons por. PVO TT pris | N' des à dis tour los événémients trois lièvres”, dont les. rôles étaient | ciers de la. société ont 10h£tempS tra! Avot. Thomas Nowak. Piliéedce: M; Louis Pilotte, Saint-Malo... : 2.00 | pressé, Venez voir les changements Julia Arthur . | importants qui ss déroulerènt au pays. habilement remplis par Miles Jeanne] vaillé pour en arriver juSqué 14, sur- John Rydlewski, Géorgés Amyot- M. Et. Soulodre, Sthxptem.... 4000 prodiéieux Opérés…… cela Vaut encore et un groupe d'acteurs À & file aalM. Vermette fut un des futras,. Florence Fortier, Aürienne ! tout quand il à fallu rédiger les règle- Méthode — Excohende: Obcar Boily, Mie Léontine Hacault, Bruxel- mieux qu'une séance d'animaux sa- . de marque | plua lbyaux compagnons de Riot, et if] Pengeresn et Annelte Boissy. Nous mets êt constitutions. Albert doyal, Diligenté: Alfred Ja-| 9-5... SE: 26.00 | vants! } S AMIE 5 00e À L son haèle ainsi * remarquions avec grand plaisir la Désoïridhis l'ôbjectin nouveau est à cle Oscar Boily. - oo PNAUTQRE ” ’ bé purs . e

! se trhstitua gardien e ns : 16 é À « . k dieu a bres se soft get , S1.10 | le telle lé héros métis seenchait | Présence de M. l'abbé Férest, hotre | construct'an d'un monument national; IL Grammar — Excellence: Peter « Feu RÉ Euiner * |inserits. Noûs Fèlevoé Auf les réglés réa :50, 275000, 61,50 | dam” mn porte AM! d'aclihPger à lef ancien Vlcnire. que tous aiment ton |A Ye longiembs quon ln paré 8 Pl Koipuslewieh, Siantey Sergot Di ain Se ré dut _L ge.

Ü haine des-orangistés. U;y à déj rs. à rover. Safat-Jesn-Babtiste cop" à AE dé rence: Peter Komusiewfch, Stanfe 11 NS :

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ten éore on ab itevoir le sen sE-cmdt “}-Duniec. à Fe - FF S ME és fatt di ct ps pas Eoiment Pétiore 10 on @ : “Mn Fléniônts latins A — Excellence: che tient es Atigues, se ras a tenu ment La Yérendrye”. La société welr b, ntives dans 1e longues Deu-là diriger lui-même la çhorale pour le |* ené Jacob, Léo Lafrenière. Diligen-

romet pas de l'ériger la semaine pro- pe. sw Chant de Noël.* Malgré te court temps che, a te son de faire per AL Fafenière, Ausié LANRA à M William Vermette vint résider à | aceordé aux répétitions, la messe de we eee À à Eléments latins B — Excellènce: près, plusieurs mois de maladie, à l'onde où 11 mourut {y a environ | minuit tut rebaussée par des Chants ce qu'il y a pus e faire, Natw Lis \vilvers, Haroïd Fry. Diligence:

; l'Age de 45 ans. 11 habitäft rellement, elle compte sur l'appui de dépuis une quinzaine d'an ées. » T: creer À François Lemire, Harold Fry.…. q « ® Dyisen@ix frères et soeurs, guatre| “Minuit Chrétiens”. d'Adain, fut très me à Sn 7 9 pond Du l Senior Commercial — Excertence: | #7 ÉPouse, née Eléo RS Di arrives Ce acat: Dion Dole bote De LB eue Va "où rares re À rement la | Ajÿhônse Wiwmer, Ruwell Shiruir, |!l:laî$se pout le pleurer une fille et l'span.* Altreë et Mmp. dohn [hée.# Botdcièlue fut ausal bia yüda: nécess vu pa ce, : Diligence: Alphonse Winmér, Arthur |" #arçon. Il était beaü-fbre de 8. | #0} . Bônne chance et bon sücès à notre |pontai be, G. Mgr J-H. Prud'hothrmhé, de l'hon. sie. ‘A l'offertoire, un oratorio de Noël |. jété nationale. FRA RS- Prud’ tut chanté, tandiv-que pondant ia messe de eva TRE Junior Cdmmercial — Excellence, | 18e Roy et de l'avocat honrme. 1 ladelis 0 sctétètet OÙ vie DR : Williäm Runner, Omer. Dease./ Dili- Le Mgr Jubinville, assisté de MM. les stsis.: Lék iollics dtsient: iles Ho- , À l'hôtel de ville - ]gence: William Runnér, Wätrid, Pé-|® ne: (rh et Boulet, affeialt-aux - trin. funérailles

ac st Léo ; Mle h & - ; Ÿ : situe ce Ace Déni, Angie A J'hôtet de ville, rien de’ bien heuf. |, Éléments français — Excellence: Eu- | ! Les porteurs é ‘taient: MM. A-J:H. Boissy: MM. Narcisse BPOON et L'on sé prépare. pour a séanée du 4! gène Laÿivitre, Hébri GÂtin. Ditigen- ET H. Bourgouin, Noël Berhier, E. que Granéer. Notre dévouéd PE gap janvier. Cette séunçe aura lieu à 10/£6e: Aâtonio Richard, Eugène Larivière. F rstal, H.-H. Cottingham, T. Molloy. te, Mue Albert Broion tenait l'igse. héares du Mali. Il s'agira. de noi! VYnglish Preparatory — Pxcellence: | M; pe et W. Raymond.

Depuis deux ans nous étiofts habitués | MC* les vérifcateurs de l'année cou-l Alexander Crawford, Waltern Henrs. D'Âei à la sépulture les réstus Été Sage sn: a sois Dette digée rante. Puis l'on procéde:à à la forma- Diligence: Alexander Crawford, ‘Wal- déposés dans le charnier du cimetière } là chorale, jpgea bon de retourner au tion des comités et tel nous répétons ter Hearn. de là cathédrale. plain chaht. 1! #sans doute fast plai- nâtre question: Ne bourraiton, nef} Ont mérité les ! homheurs de la classe: ‘ sé bis 550 AE &lr aùx anciens ‘surtout, d'entendre un le, comité de polie à: dun êtes à rès, Philosophié Il: Léo LaHberté, , La patinoire. des chefsd'oeuvre de plain chant, ja’ M. Doucet par exeïnple? Allons-noùs Philosophie L: Joëeph Robert. J Messe -Bordelaise, qui ne le-cêde en mu à her de parents péuÿres à 1’ho- Rhétoriqüe: Armand Landty. | n ; aura fanfare à la patinoire de rien à à musique moderne et uui mé telle ville et toutes les charges doi- Rhetoric e} Humanities: Henry Des- Saint, "Boniface. tous les féudis, et dé me séwble se rapprocher le plus près vent-elles .aller aux autres? L'04 wädrochèrs. a manches, dorénavant. Cette patinoire te ta Migie. i nomixer Je pro-maire. Ajoutoñs| Belles-etires: Hérménégilde Poirier. | dévient de plus en plus populaire et ; . que les nouvéaux écheyins abbiptéront | Fe gen Aîbert Girard, Roméo |‘dés Visiteurs UÉiingués de Wfinhipes

bes vachnces des fêtes ont ramené FA cètte häsémbilée. - Nous léur souhai- et dés alentours nous promettent des; dhnh, ledr foÿer un grand nombre d'é-| tons bou stccès et courage. Puisseht- pr Grammar: Thoms 5 Nowäk. seihibitions de patinaËe fantaisie FA

lèves fréquentant le côlèké, le junio-| lle se montrer dignes de la confiance! Méthode: Oscar Boily, Gérard Le. | rant le cours de la séfson. rat et Jes divers couvents. A tous nous | que nous leur avons témoignée! vel à tn vitesse dévichnent de plus eh plus Prènets tarsnpes.t' EE LE Graminar: Peter _Komukjewich, | fémbreux-. Il est maintenant question

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Wcdtale de Mina: BonTace rés Tin mondon, A. my ©: Mareoux, À. Mon.

raîlles de feù M, Edwin Sumner, gen- dre de l'hon, L.-A. Prüd'honime, M, Sumner ést décédé le 24 décembre

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CAURS CLASSIQUE COMPLET — COURS at % ANGLAIS — COURS.D'ELEMENTS FRANCAIS

Dortoirs à l'épreuve du feu j SRANeE TERRAÎNS DE JEUX « [4

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Lie tr “ tes & sonnaireë est fxbe du 7, janvier: vers les 7 externes doivent être au Collège le vendredi 8,8 + du matin.

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” be *éon premier mariage avec Mlle

Nüney: Vundal, il eut huit enfant

donbix ui survivent, trois.fils et trois

d” fliek. Ce sont: Robert, William, Jules,

hi ten religion Rév. Soeur Plu-

+ ctdeh, Mue Deslauriers, de Saint-Fran

+ cobikarier. et, Mme Louis Riel, de 1 û

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sut -Vitai. :: Mapousa en secondes noces, en 1900, nétreuve Brabant, qui lui survit. 1 à ais un fils adoptif, M. Moïse

L porieurs étaient: MM. Roger à H Ghevrier, S-A. Nault, P.-M. arttlfe;O. Teillet, A. Gauvin. 8. Saiat- daln et Louis Riel + oproRs ‘à la Taille ên deui sincères sjmpathies. * de minuit ; Arolif eu cette année uné wi: uësse de minéit en intslque

par Bedudry. Les aux ont été M. Aimée Houde, ldtitutrice

pour ALT 72

“Départs fréquents du coute RE ANR, AMBOURE el: RG ANGLETERRE,

#4. 42 vob LE EN de rie mea

DS 06 éérçnns. Le choeur se cour) au. apte puinvauer ee Areil | Le “VOÿageut” [Sisley Dante MES me Vice lanartoregen ee ane en ins « mes qui jusqu'à) porme, de Saint-Joseph, nous quit-| + 4 i% Eléments latins A: Res on, Lé| 77 en, car 11 x À plus 1 dei s vog billèts de bbnné heure pe sc n'a Patent * ai “en sl'avmntsge (hielt® Ces ‘jours éderlors” pour l'aller 1 À VE à orgéniké cétte au. | Laffenière. promettent beauccup. Les courses del - À. Pour pi d'infs ne, Caribe note À chanter, mais qui pro-| er jes fêtes daus la: province de ai [Mée, comme les cuéespasstes;ta mwf Eléments lotigs U: Aïn Wiivers, [dela repreutone aptes 16f ‘étes. On nn eg vod “ut < au 4 pour l'avenir... | Québec. … . : \radi:iounelle, vranfois Länire, l'in duté de la grande mas remerciements à M Tor Énis lurons ont tédra Senior Commercial: Alyhoñse wi. | us peu k dant. Je ER PRIE 06 le perndré D CECI BR nt «véc alégro: : L'usine cs ie sn à nd anale issus | à s ‘ Ne EN A 1 w. : Si : nd ES pi tits dal vw \ a S as a * De AA Ra clin DES NL AE RE, X 7 SPP PE RER NS RN 28

rat stéuahe Étu LÉCÉ ra list Ati tte Lun ARC RAT "4... 6 Le is ja

nement A

c complet assentiment. dont je suis chargé. Millon vous"oñt peut-être Pre que J'avais été 1esimir? JE _ Oui Oh! combien vous avez a Arpéëf ditelle avec ün re: rayonrañt reconpalssance.

pis és chérs ents!… vous yes gros LE tom! e!

M. Mais € fl me mibiinäre des ae Jon r à connaître cette

toits.

selée ayec un art âädmirable”

bre: cry pour Mie Myrte, et je suis

de ‘mille souveñirs afféctueux. L# petit Jéan m'a dit qu'il viendrait vôüs voir” C'eéf ün gentil énfant, un pêu' fluet, uf pêu pAlot*, 11 m'a fait péhiser à mon pauvre chéri, qui aurait

d'un geste respectueux...

droite du prince Milcza,

sÜt éloigner la pensée pénible qui ou- vit Ja blessure À peine fermée. LÜ Quand la comtesse et ses filles entrè- | | réfit, elles trouvèrent le prince Arpad 1 ‘nphuyé à la cheminée, écoutant avec 4 ui intérêt amusé le récit que Myrto, | ansfise en face de Ii, faisait des en- 4 théusiasmes “démocratiques” du gen- li] dre de Mme Millign. ne : dl |

tèrne ?

Myrto put cônstater aussitôt, com- mê le lui avait dit la comtesse Gisèle, le changement du prince visà-vis de 1, sa famille. Pos Jrène seule, il conT

servait quelque , chose de sn hautaine froideur d’ auiretols. Non qu'il fût at-

À fectüéux, "tes ‘rapports cérémontieux ayant existé justu'ici éhtre lui et lès

| sietis n'ayant pas été prôpices à l’éclo- sion de ce sentiment, mâis Ïl ne mon-

{ trait plus la glaeinle fndifférence d'au- . | trefois, il left témoignait même üin i intérêt aimablé…. ‘Renat, surtoût, fut

{ de sa part l'objet d'une attentidy ghr:

ticulière. Appelant près de lui le pe-

| { ‘it garçon, H dit en posant sa mair Lür son épaule:

+ Je pe ‘occuperai maintenant de toi,

pauvre qui vivait sous son toit. Combien 11 était changé! maïntenant, et avec quel charme!

ges,

entendüs... plaisir jiufini,

parlait,

ques mots. men, que sa cousine demeurât tà soit peu en dehors de la. convera On vint à parler de Ja vi

Soliers,

a

LA de

4 fenat bais® le nez d'un air. crain-

de cela! Je vous en prie, ne vous inquiétez pas à ce sujet. Je trouve seulement qu'h est bon, pont ‘| une nature difficile comme cellé de t, d'être dirigée par une main mas-

je ne me permeitrals, ja- mals de prendre à son égard une me- sûre tant soit peu sérieuse sans votre

— La place de Votre Grâce est el... EH i désignait 1—a chaise placée à, la

La physionomie &e la chmiessé F rasséréra à cette. déciaration-qu'elle. n'aurait 084 attendre de son, fils, étant donné son froid eee d'autre-

La slile des Banquets était magni- fiquement éclairée, des fleurs cou- yraient la table garnie de merveilleuse porcelaine de Sèvres, de cristaux dé- sespérément fragiles, d'argeuterie ci-

avez vécu d'aoni 4 ps Myrtd allait se glisser modestement tes Qui vous ont été | vers le bas de ja table, près de Frau- dévouées… qui 2. sont, \oujours, du | leln Rosa et des enfants, comme elle réite, Elles ‘sé tämiration en- | en avait coutume ches la comtesse Zo

lanyi. Mais le maître got à dde

Myrtô eut une seconde" d'hésitation.

p ue son âge cette année. Ne se trompait- il pas?, Qui donc avait npuveau, l'ombre doutou ps vot- | donné cet orûre?… ÆÊt la comtessé

* lait les prunelles cg Per à Gisèle ne serait-elle Das froissée de] ? Nroë ne @ctén Vateutt, My AC voir à la place d'honneur la jeune pa-

rente toujours un peu traitée en subal-

Mais Terka s ‘asseyait à | agauche de son frère et Irène, les lèvres un. peu pincées, à la droite de sa mère, Myrtô prit donc place près de son cousin, et +a simplicité, sa naturelle aisance eu- rent vite raison de ce petit moment de gonfusion caûsé par l'attention dont le ‘prince Mileéza honoraïit la jeune parente

11 causait Il racontait les impressions de ses voya Îl parlaft de son séjour à Paris,

es relatibns renouées, des livres lus, des concerts ou des pièces de théâtre Myrtô l'écoutait avec un bien qu'elle ignôrat la plupart des gens et des faits dont ?! Mais il s'en aperceÿaft aus sitôt et la mettait a@ courant en que: ll n ‘entendait pas, <vide eun-

tioa "omtesse que le prinée avait À peu

F Régat. LA SE due ta devicnnes un |près céftainement sauzéo d'un accl- homme aér eux, digne : au nom: que tu | dent. 11 dit avec x léger mouvement Ü portes, d'épaules:

: — Ces jeunes femmes ne doutent de

TEFFORTS (Tours de Peur

Tout effort, même dans lès évènements ordinaires de la vie, est

| dangereux. Raison de ve lorsque les efforts sont violents et.qu "ile sont causés par des accidents graves. Evitez de subir an effort qui vous terrasse, 1nais si toutefois ne. avez ce malhepr, rappelez-vous

|" PILULES MORO ! pour les Hommes | ontutit-oér de: L'Abbé: LS

dre “J'ai souffert pendant dix ans du mal de , ‘reins et je ne pouvais travailler comme bû- h: cheron qu'avec peine ; parfois j'étais complè- » tement incapable de faire mon travail. ai contracté ce pa de reins en faisant un effort violent pour me dégager de sous un arbre qui était tombé sur moi et qui m'emprison- nait sous ses débris. . J'ai porté des empla- très de plusieurs fnatques et toujours Sans soulagement." : Un cam: rade me conseilla de rendre les Pilules et c'est ce que j'ai t. À mia très e surprise, à dix de traitemen ,je me sentais éjà sou- J'ai continué l gui loi rides Pilules Moro

es 4 pendant un aù et jé ù' bien por: Wa L'an tant, EE SLR et leurs oro m'ont sauvé

| nu M: Wily L'Abbé, 139 â vie ; » | 3 Schoël St. Bétiih, NH

Les hommes qui sont appelés à faire\des efforts tréqdemment

{ . doivent se prémunir contre tout danger en prenant de temps à er | es Pilules Moro Qui seront toujouis teur meilleur outitn. L Les Hlules Men aones sous patent ! Re ce cuit

- la posie-sur réception die prix,

. Lerame Métal Merg 1868 Se Denis Mentrée,

vicé que on mm avez rendu” et tel crois qu'ils ne. peuvent faire trop me vous le prouver, - En effet, la recounaissañice est une grande vertu, et ce n'est pas moi qui voudrâis en détourner qui que ce soit, car mon âme en est profondément pé- nétrée,-dit-il avec une soudaine gravité. £n prononçant ces mots, {1 regardait sa cousine. Une teinte rose couvrit le teint #1 blanc, si délicatement satiné | de Myrtô, ses longs cils s'abalssèrent, voflant son regard confus. Elle ne vit pas le coup d'oeil malvefllagt que lui lançait lfène.. Mais quelqu'un l'inter- cepta. Le.prinée Mficta aevait étre maintenant au courant des sentiments de sa soëur pour sa cousine Myrté. ‘: Les sourcils soudain froncés, il de- meura quelques: instants silencieux, et lorsqu'il lui arriva, dans la soirée, d' a-

raissait. apprécier infiniment robprt | déligat de Myrtô, la finesse et În sûreté |! de ses jugemegts, la profomdeur de son intelligence. H avait accepté avec em- pressement dé lui donner quelques con- sels, au point de vue intellectuel, alnsi que Myrto le lui avait demandé un jour! ‘ avec sa charmantg modestie accoutu- mée.

a mpeg open = ee

dresser la parole à frèhe, sn voix re-| Je suis très ignorante de 0 benucoun] seu À gratitude dont elle LES F7 nm np prit pour elle là duteté, son regard, 1a | de choses, vous avez dQ vous en aper | 4,4 Reset. mais en revanche le prin-! s'écria la à pause. d'un , ton, . à glaciale froideur d'autrefois. covoir, et je ne voudrais pas que votre ls. Miess paraissait prendre plaïäfr | bien rare rs XIV cousine vous fit honte. à entendre jouer sa coùsime, 117 con- | 14 vie de ta soeur au péril de la sien-|. _' ” ee. La’ cadette des jeun tesses de- | Si de ne Vous connaissais si bien, it du reste lui-même’ en faisant |'ne, est pour RM) tous dévouto |. ‘ gé, ous voudrez, Myrto, Non. vait se trouver bientôt, dèns tout Vo: | Myrt0, je penserais que vous cherchez passer une partie de ses aümônes par et # ueuse.x rt à ayons les m goût Pau é. racey, la sonle qui ne cédât pas au] 7 compliment, avait-il répliqué en sou-ljes mains de Myrté. S ; (Un brèle de pas au dehors l'interrom- 1 s'terrombl PE charme de Myrtô — ceci, grâce à un['iant. Je me mets à votre entière dis-L 7 Myrtô, vous , remet pk Le prince Mileza entra avec son lerispation dar iX incident qui eût pu avoir. les suites position, trop heureux de la confiance coçi à ua\ tel, disait-4 en éhtrant dans et demaptn, en s' près | de musia :

que vous voulez bien me témoigner. de salon. dh sa mère. Si.ce t'est pas de\sa mère: . : Cette confiance en lui, Myrtè l'avait! assez, diteste moi. Et j'ai peusé que| : -— Myrto n'est pas encore denconäné ? Karôty, © absolue, ‘Elle connaissait maintenant {hon pourrait donner la pètite fimispn] — Si, elle est dans le nr gi de ma- age ‘ l'élévation de #on,âme, la,délicatesse {an bord du laù à ce vieillard qui a l'air | sique a 08 ra 4 Les volet, de son coeur, quelque temps obscurcies {si honnête et Ai résigné. Qu'en |'Aites- rit À par, sa douloureuse maladie morale. {ivous, Myriô? t le -comte ri en TC Elle savait auséi que cette-pRrole pro- || noncée jadis par jui, en ce jour dont! gear cu feX ot nn % le souvenir la faisait éncore” frisson- es -d æ cousin.

ner: “Vous pouvez tout demander à| Lis, Jonldy et parfois” nt Jin |.

votre cousig", n'avait-rien d'exagéré. différence re SP EN RVT con- | avec un léger mopvement e8. “Tout, même le patdoi de Marsa, la liuet de Myrta, ils di taient, mp | —4Voyez.ce dédaigneux!. Que | comp:

nourrice qui avait appôrté la mort au fondation . d'écoles y ]taut-is dbns, man cher? ,., 568 0 1 D

petil Karoly. à malheureuse, chas- \vroirs,. d'asiles pour, de s ft. -Hion-d'autres-choses, Je.vous as-|ardait sans corprétidrb.,

sée avec les siens dé la demeure due! les: infirmes. “Le prince. tracé Ah :Voyons,-je ne veux pas faihe Jout à coup les-mains éh muretentt:

à la générosité du prince Milcza, errait [même Je plan d'un établissement Le ir, les curiosités .que,vous. vegez]: — Pardontéztmol, Myrtb, je soie

en proie à la misère. Elle était venus tiné à recueillir les petits enfants aban- iller, Mathihs,. - Voici las neuyel- Jesuis un ingrat, ear, quoi qu'il arrive, É

supplier la comtesse Zolanyi, mais cel- donnss, et qui portérait le nom de | k Tout. d'abord, l'archidue Frac. | vous Te Mol, une ‘bigménis

tes plus graves.

Quelques jours après Sert da prince Milcza, Terka, sa cousine et Mitzi revenaient d'une promenade dans le parc, lorsque, d'un sentier trañsver- sal, surgit un homme hirsute et en hà tons ‘qui s'élahça sur Terka, un cou éd" à la mat C'était un tou furieux ‘Qui Hvait rétksiA déjouer la surveil- täncb/des gatües de Voraczy et s'était glissé dans le parc.

*Mäls avant'qu'ih eût : pu toucher Ter ”… Myÿrtô Gtait devant sa cousîne, et

> fut'elle qui Fecut la lame dans, le br

, Un'£arde, qui #é trouvait à la pour- suite du malhelreux, arriva heureuse- ment à cet instant et le blessa d'un

Nat

coup de revolver. Myrtô, soutenue par | le-ci, effrayée, n'avait même pas voulu ts. Eh ner qui mhotorait te lutasre: fées “44 net 6 Terka et par lui, put rentrer au cha. | l'écouter et l'avait fait renvoyer en di-|' Lb Père, Jdady : maltipi{ait 1e ‘a de son amitié et que j'ai retrouvé « Cet s'in ‘rer ot. te: prince | Ka ' teau, m£ vilans le vestibule, elle s'é-| sant: * tions de grâces, son regard rayonnait 00 A PRES mÜREE RS qu'en gagnant Giga entralent, re Myrnôpeit . : vanouit d'émotion et de faiblesse. — Si mon fils ia voit, il est capab'e . vers ba a a

; ‘chèque fois qu'en entrant, le dinanthe,, de faire quelque malheür! -laans la Æhapelie pour dire sa'wnegse, À

Marsa avait.réncontré Myrtd, ell Ioyait occupé le fauteuil, ptincter. & s'était jetée à ses pieds, et la jeune. 1ongtémps vide. Et de. château ont fille, émue, avait promis de parler pour entier sortait, avec une, sorte d’alté- elle. n'était pas cependant sans grosse, de là torpeür où J'ayaïk plongé quelque appréhension qu'elle avait rom: |, misanthrople de. son, soigner. pli,sa promesse. Elle allait réveilior À tes ré (os -véyntals. aù mord: |°

de douloureux souvenirs, se heurter pliatent. Le prince Mileza AYait ne- sans doute à ün violent ressentiment... eopte d'avoir à Voracsr

Le prince et sa mère accoururent îm- médiatément, le docteur Hedaï, fut ap- pelé.. Heureusement, la blessure n'a- vait pas de gravité. La physionômie angois:'c dn prince Arfpad se détendit un peu : cotte déclaration dh nédecin, ct il be a. la main de. sa coùsine cn murmurs at:

— Vous vou'ez donc, Myrtô, aue

}

PS Le re s'écria la comtesse Gisèle d'un air ravi. lent depuis

be e |nouvelle, anse le | prince <

printe avec tranquitlité. Le

omte SANT A 18) assaut

semaine prochaine. — Ah! Wantat Lee pi on

nous, vous soyons tous redevables? Et, de fait, le prince, très pâle,de re- Mathis. de Tan tisfac pi; La comtesse Gisèle avait ardemment | gard dur, l'avait items aux pro- Fe Resp etait très en 3 | «men ie FL

remercié sa jeune parente, et Terka,|} miers mots. ès de Mytrté, de violent dépit d'E died ae PR

dont le coeur était bon et très capable + Je ne vous rhfuserai rien, ?Myrto, près è rène, 4

d'affection, n'avait su de quelle façon moù | 11e 1eà maliciguses Pape cd dé ses

© [tut, témoigner sa reconnaissance.

Myrtô devenait de plus en plus, à Vo: ragzy, une personne d'importance, sans que sa yimplicité, sa ravissante modes- tie en fussent altérées. .1l n'était plus question pour elle de remplacer Frau- leia Rosa, le prince AtD4g s'était çuté-

sauf cela!..: Sans cette misérable, bienaimé serait entore en vie. amies exaspérajent hu ve 4 Yi

— Mais un chrétien doit pardonner, | - 77 C'est ridicule de Dis ne lee Arpad!… Et songez à la situation de l'une de nous. cette jeune fille ami est cette pauvre femme, qui se troüvait | deatinéé à l'existence la plus rie sans nouvelles de sa mèro et de son|mäman! ditelle un jour, en voyant | otez enfant malade. Myrto me im que ne do. uñe cr. Pas cel, Myrt ù é # TT Ne compretéz-vous pas que avait oferte la cimittseé Gisèle. pus me falles mal? avait-il répliqué| Celle-ci lregarda sa #lle avec sur d'un ton altéré. prise. mis

Elle n'avait °as insisté et s était” con-| , — Comme l'une de vous? qu sais tentée de prier... Le lendemain matin, | qu'elle-même m'a priée Ye: na vien Jui après l'avoir’aidée à se mettre en selle | donner de luxueux, et ce n'est pas pour. la promenade à cheval presque {faute si-sa beauté parë la plûs m quotidienne, il lui avait dit en retenant |'des toilettes, Quant, à üne future efis- sa, petite main entre les! siennes: tence modeste. Irèhe, je crois qu'elle

+ J'ai donné des ordres pour quels | fera un brillant- mariage. 4 tumille de Marsa réintègra le logis] Les iévres d'irèné se serrérent mer.

ar Ne voës ai Me” prinèe d'

bible d P1A, 50

djouir son âne d'érui it dans 'archidee! on, ttièque de. Voraezr, | mbrir, depuis.q

me de ra de simples petites réunions = At 1 st enades.. Je n'ai jamais en ra SOU re cette uxFe Irène, af 4 à Fa Les le .comte agent avet ub | mé sourire waliclenx. Îl est certain que, | dés

dans cet admirable caûre de Voraczy, | osé insister, vér, ps À des grandés fêtes semblent tout indi.|#e, votre frère. est drès

muées.… Qu'en , ma cousine? wmonh ii vont ces APS

jour que Myrtô se trouvait seule avec sa mère et lui.

— J'attorise encore, pour vous faire plaisir, les leçons de violon, et aussi, si.vous le voulez, la lecture à m@ mère, Mais quant au reste, je m'y refuse ab- solument, Myrtô, et ma mère s'est trouvée tout à fait de mon avis,

+ Qui, mon enfant, j'ai résolu de vous considérer comme uné quatrième

VS m ar | n'avait

ds PTT) * , ife.

Alle, ajouta la comtesse en pressant f d'autrefois. Vous voilà sonhéain, _ veusement. Et, attirant A phare a Au, dé | — À qui Je dites- Jrèi afectueusement Jes maiñs de Mynto. |t0? rr Elle en est capable! ditôlle entre serait près de d: 1€ ave( une We 40NKE#: — Vôus êtes trop bonne! dit la jeune] — Oh! Arpad! ses dents serrées, Mathias... ou Arpad. L: leiogrette sue prince Micra eutent|" — Cvst vreuo Mi dre x fille avec émotion. . Mais comment ac | Son regard le remerciait mieux que} peut-être! éf froncement, 4, avant que Myr- vous ne paraiséez pas être dune #èk bômsir k cepter de tout vous devoir ainsi?.. toutes les paroles de reconnaîissance,| -—- Oui, Arpad.… PART la éonntés- ps sat pu xéponûre, N dit avec une] nes grâces, -Iln'ésl pas

es

> de nérberesse 4mpérieuse : aimable vous, je l'£i remarqué. :si3

— Myrth vost jus nb mondiale, OL. L'on de tie MM héureusement, ele ne désire que. la{ dit Irène avec une sorte de rage, ” ‘"5ué tranquillité... Du reste, son deuil n'est}. -Commént cela? da vi

— Vous êtes une petite orguolttéuse, Myrtô, dit le prince. Avec une douce irenié. Vous savez fort bien que vous faites partie de la famille, que ©]

et Le pli profond que la lutte contre son | se. 11 faut que e #oit elle, cette irré- ressentiinént avait creusé au front du} sistible petite charmeuse, four. avüir |! prince, s'eflaca aussitôt devant la ra- | détruit aussi promptement sa faroucie dieuse jumière de <es prunelles ve-| défiance. ; ñ di, heureux avec ele.

nous êtes infiniment chère, et que nous | loutées. Irène pas terminé, elle ne pourrait partieipèt | coméèste avec. nf M proonprhont re vous sommes infiniment redévables.] Au cours des promenades où.f ac-] -: Comm À vous accepteries cela, | à ces granties réunions que vous pa-{rieux.....… 4 PAS sénisi Allons, -uissons ce sujet. Woicl Terka] compagnalt ses soeurs et sa, cousine] tout simplément? : Cette jeune fille | raissez désirer autaut En Ma- … J'ai inbntré trop

déjà toute prête,-et qui ouvre de grands yeux on se demandant ce que nous avons À causer Aînsi au leu. d'alor revêtir nofre tenue de cheval

Cer Myrtô apprenait l'écuitation avec son cousin pour professeur, Très souple, très adroîte; elle avait fuit de rapides progrès, et molntenant élle pouvait accompagner le prince et ses soeurs dans leurs promenades.

Elle était la plus délicieuse amazone Qui se pat révèér et lorsqu'elle apparhis- sait sur le perron du château. se taille admixe 0 dessinée par ja robe de drap

le prince Mileza s'arrétait parfois à la porte de quelque pauvre demeure. Les ! raté... enfapts s'enfuyaient, efflarés, mais re # Tu és ridicule, Irene, it Ta COm- venñgient vite à la voix de Myrtô, bien | tesge d'un ton fâché. Cette jeune fille connue de tous. Les plus grands. gar- l'est une Gisza, son père était de; ble daient les chevaux, tandis que les pro | race, üb peu déchue mereurs pénétraient du le tristé lo | est admirablement distinguée, exquigé sis. Le prince interrofeait les nabi-} an. moral et au physique. Je n'aurai tants sur leurs bedoius, sur, leurs spti.| pas une pensée de blâme pour Arpad tudes, il caressait les petits enfants ot 5 ‘ll veut me la donner Pouf bélle-fillé. montrait une si grande bonté que Ja — Tous en adairgation devant ell craipte excitée par son apparition 3e} dit rageusement Irène AE! elle savait dissipait peu à peu, grâce auësi, ti faut | ce qu'elle faisait, l'intrigante, avée sès le dire, à la présence dé Myr:0 qne tous mines pieuses et modestes, son affec- noir que lui avait offerte lu comtesse, | ces malheureux appeläient “notre sn Je petit chapeau à lougue pliée: posé}se).

r.sa chevelure aux teûats-onperbés, |: ] se môtitrait très -confuse - des

sans le #0u, cette enfant d'un artiste { thtias. peu de Less — Où! pes tnt Es coût äit le jeune | pouf qué »

wffiuler sans apercevoir de l'ironte Yeux Ou ‘Prises, f0L:56 <

Meg <, 18 le ton de soh cousin. Je | monde que sa cousine, Elle a pris's

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es lévres du prinèe rent \ AR» sde 5 ser une observation immpatiente pré

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